Accessible depuis un smartphone, un navigateur web, c’est dans un casque que la vidéo 360° ou VR video (pour virtual reality video) s’exprime pleinement. Le principe ? Une vidéo dans laquelle les mouvements de l’utilisateur permettent de naviguer, et de découvrir ce qu’il se cache derrière sa tête à l’aide de mouvements. Mouvements de la tête s’il regarde la vidéo grâce à un masque, de la main ou de la souris s’il regarde la vidéo avec un smartphone ou un navigateur.

Pour mieux comprendre voici un petit exemple :

Le principe est simple, mais qu’en est-il de l’utilisation. Allons-nous assister à un raz de marée de la vidéo 360° ? A-t-il déjà commencé ? Quelle sont les utilisations pour lesquelles elle est particulièrement adaptée ? Petit tour d’horizon.

Toujours plus de vidéo
Aujourd’hui, la consommation de vidéo représente 74% du trafic internet. Et cela va augmenter. Nous regardons toujours plus de vidéo et la consommation de vidéo représente déjà 20 % du temps de navigation d’un français. Les vidéos sont de moins en moins longues et moins de 2% des utilisateurs font pivoter leur smartphone pour regarder une vidéo en mode paysage. L’enjeu est donc de se différencier pour que votre contenu soit vu et partagé.

L’effet wouah
C’est là le premier atout d’une vidéo 360°. La découverte d’une nouvelle technologie est toujours excitante, différenciante et engageante. Le format correspond aux tendances actuelles, immersif et non-passif. Il donne une sensation de liberté, ce n’est plus une simple vidéo linéaire qui est proposée mais une expérience interactive. La marque qui permet la découverte de cette technologie à ses clients bénéficie de cet effet “wouah!”.

Des débuts timides
La vidéo 360 est née il y a quelques années, les débuts ont été timides​. Aujourd’hui l’offre est plus mûre. Les délais de production se sont réduits​, les caméras sont plus performantes, les plateformes de diffusion ont intégré des lecteurs adaptés. Le terrain et les acteurs sont prêts​.

Pour quelles applications ?
Les premières applications logiques de la 360 sont toutes les situations qui peuvent souffrir des limites immersives d’une vidéo classique. Faire une descente en VTT, se balader dans une exposition ou découvrir une suite d’un hôtel 5 étoiles, voilà quelques unes des applications les plus évidentes de la VR. En voyant l’intégralité spatiale des scènes, l’internaute peut vivre une expérience immersive décuplée​.
Mais ce ne sont ici que les premières pistes, et nos seules limites sont l’imagination et nos capacités à créer de nouvelles manières de filmer. Nous réinventer pour se mettre au service de votre histoire c’est pour cela que l’on a créé Alpcat !

Quels inconvénients ?
Mais quels​ sont les inconvénients​ d’une vidéo 360° alors ? Le premier est la perte de repères lié à ce nouvel environnement. Votre cerveau perçoit des signaux visuels qui ne correspondent pas à votre oreille interne. Nous avons mis le casque à beaucoup de personnes, et malheureusement, nous avons observé un certain mal de mer.

L’autre danger est de créer une vidéo 360° seulement pour l’attrait de la nouveauté. Créer un contenu qui serait une coquille vide. Notre conviction chez Alpcat, c’est qu’avant de produire un contenu il faut toujours se poser quelques questions : Quel est l’objectif, que voulons-nous raconter ? Etc. Faire de la vidéo 360 car c’est une tendance ne suffit pas. Mais si c’est le moyen de révéler vos histoires, alors foncez !

On en discute ?